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Centre Dramatique National de Quartier |
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La saison |
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ZEUS - Grand Orchestre du Tricot
vendredi 8 - complet
samedi 9 septembre à 20h - complet
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Valentin Ceccaldi est tombé, dès son jeune âge, dans la marmite des musiques libres. Celles qui ne s’embarrassent pas des étiquettes et des genres. Esprit collectif et collaboratif aperçu dans plus d’une dizaine de groupes, esprit curieux du continent africain où il frotte ses cordes à celle de la jeune génération musicale malienne et burkinabé, l’hyper actif Valentin Ceccaldi se révèle également un jeune compositeur aux mélodies planantes qui ont le don de rester dans l’oreille et les yeux.
Après ATOMIC SPOUTNIK, épopée interstellaire inspirée par André Robillard, Valentin Ceccaldi nous propose ZEUS, deuxième volet d’une trilogie cosmique pour et par l’Orchestre du Tricot.
ZEUS questionne notre rapport au mystique. L’Orchestre du Tricot, à nu, nous engage dans une cérémonie sonique à la gloire d’un chien.
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avec : Théo Ceccaldi, violon, alto, mandoline, Quentin Biardeau, saxophones, Gabriel Lemaire, saxophones, clarinettes, Jean-Brice Godet, clarinettes, Valentin Ceccaldi, violoncelle, Guillaume Aknine, guitares, Roberto Negro, farfisa super bravo, Adrien Chennebault, percussions, Florian Satche, percussions, Robin Mercier, voix, Jean-Pascal Retel, vidéo, Guillaume Cousin, lumière
En partenariat avec le Festival Jazz à la Villette
© Jean-Pascal Retel
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Fil et Furia
dimanche 10 septembre à 19h - complet
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Une soirée pour deux duos insolents et ludiques rassemblés par la chanteuse Leïla Martial.
D’un côté Fil où elle tisse avec le violoncelliste Valentin Ceccaldi un univers où se croisent des versions saisissantes de Fauré ou Purcell, des élégies de bruits de bouches, des climats soniques stupéfiants.
De l’autre Furia, folle rencontre improvisée avec la danseuse et circassienne Marlène Rostaing. Elles sont pitres et clowns, vrombissements et mouvements, composent ensemble un conte acrobatique qui met sens dessus dessous l’espace, le corps et la voix.
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avec : Leïla Martial, voix, pédales d’effet, Valentin Ceccaldi, violoncelle, Marlène Rostaing, danse.
En partenariat avec le Festival Jazz à la Villette
© Jeff Humbert
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Le diseur de vérité
vendredi 15 septembre à 20h
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Ze Jam Afane est un artiste inclassable qui raconte, pense, philosophe, dessine, chante d’un même geste. Il est imprégné par les chants du berceau de ses ancêtres, les Bulu du sud Cameroun. Ce sont des chants d’initiation à l’art de vivre en homme qui parlent d’amour, de la famille, de l’éducation, du courage de vivre.
Ze Jam Afane vient nous donner en partage ces chansons, nous éclairer de son univers magique d’où émergent un animisme imaginaire et quelques vérités crues.
Pour le nouveau volet de ses explorations solitaires, il invite le saxophoniste Daniel Erdmann à bousculer ses divagations, et nous dévoilera le secret de l’incontestable mayonnaise camerounaise.
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avec : André Ze Jam Afane, conte, chant, guitare, Daniel Erdmann, saxophone, flûte traversière
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Les journées du Matrimoine
dimanche 17 septembre à 17h
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La naissance du cinéma de fiction - La pionnière, Alice Guy (1873-1968) Des Buttes Chaumont à New-York
En 1895, les Frères Lumières organisent à Paris la première projection publique de films. Dès l’année suivante, Alice Guy, subjuguée par cette invention, deviendra la première femme cinéaste, la première metteure en scène, puis, en 1912, la première femme à la tête d’un studio américain.
Le collectif HF Ile-de-France, dans le cadre des Journées du Matrimoine, vous emmène sur les traces d’Alice Guy, réalisatrice de plus de 600 films, de petites saynètes tournées au parc des Buttes Chaumont jusqu’aux longs-métrages réalisés aux Etats-Unis.
Un parcours dans le quartier des premiers studios de cinéma Gaumont, qui se clôturera à l’Atelier du Plateau, avec un ciné-concert des films d’Alice Guy.
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Idée, réalisation et conférencière : Sonja Jossifort
avec : Karine Izambert, Aurélien Bédéneau et Lucas Bouchard, comédiens, Ines Coville, Hugo Jarry et Xingchi Yan, musiciens
En partenariat avec HF Ile-de-France, égalité femme/homme dans les arts et la culture
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Kassap / Duboc / Dalachinsky
jeudi 21 septembre à 20 h
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Poète et plasticien, Steve Dalachinsky est né à Brooklyn après la guerre. Il a depuis survécu à d’autres batailles. Porté par la Beat Generation, il a développé au contact des musiciens les plus créatifs un genre de « Jazz poetry » démesuré au tempo envoûtant. Avec Sylvain Kassap, clarinettiste aérien et Benjamin Duboc, contrebassiste tellurique, les échanges, toujours foisonnants, se passent hors des sentiers battus.
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avec : Sylvain Kassap, clarinettes, Benjamin Duboc, contrebasse, Steve Dalachinsky, poésie
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IO 467
vendredi 22 septembre à 20h
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« Et l’original de votre acte de naissance, vous l’avez ?
Des heures d’attente dans les guichets.
J’y comprends rien, tu me traduis ?
Voilà votre récépissé. Signez en bas, au revoir merci. »
Le texte de Violaine Schwartz donne la parole à Io, princesse d’Argos, violée par Zeus, transformée en génisse blanche, puis pourchassée par un taon, dont le sort rappelle celui des migrants, chassés de partout. Ici, elle devient tour à tour BIO, qui vient du Kosovar ; DIO, qui a traversé le désert ; VIO, qui a payé 8000 euros son voyage jusqu’au centre de rétention du Mesnil-Amelot ; ZIO, en rade à Calais. Et parfois, elle n’a même plus de nom. Ou alors elle ne s’en souvient plus. Elle n’est plus qu’un numéro.
I0 467 retrace le parcours de ceux qui ont tout quitté pour venir ici, bravant la fureur de la mer, la police aux frontières. Mais aujourd’hui, les gardes-côtes ont remplacé les dieux de l’Olympe, la langue administrative s’est hérissée de barbelés.
La musique de l’altiste Séverine Morfin vient souligner, amplifier, scander, rythmer, enrager la parole de Io. Comme une voix supplémentaire dans ce monologue polyphonique.
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Un projet de la compagnie Irakli - Texte de Violaine Schwartz
avec : Séverine Morfin, alto, Violaine Schwartz, voix
Spectacle suivi d’une rencontre avec Marysia Khalessi et Christian Robin, membres fondateurs de l’association Français Langue d’Accueil.
© Michèle Constantini
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Connie & Blyde
Mercredi 8 novembre à 20h
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La chanteuse Caroline Sentis et le violoncelliste Bruno Ducret embarquent les oreilles curieuses dans leur univers personnel : un voyage à l’instrumentation épurée, où les silences s’écoutent, à la manière d’un conte.
Le duo appréhende la chanson avec une indépendance stylistique, une liberté des formes, de l’onirisme et du caractère. Une énergie complice qui sait jouer des contrastes, entre chansons de velours et secousses charnelles, où la musique de chambre côtoie la fureur électrisée.
Une balade à la croisée des sentiers du jazz, de la chanson et de la poésie.
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avec : Caroline Sentis, chant, Bruno Ducret, violoncelle
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Dominique Pifarély Quartet
Vendredi 10 et samedi 11 novembre à 20h
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Après avoir passé ces dernières années à multiplier les propositions formelles innovantes, s’affranchissant à chaque fois un peu plus des vieilles frontières de styles et de genres, Dominique Pifarély, indispensable et fécond compagnon des origines de l’Atelier du Plateau, revient nous sonder avec ce subtil quartet.
Toujours aussi aiguisé, il présente un répertoire intuitif, même dans l’écriture la plus complexe, millimétré, même quand les portes s’ouvrent grandes sur l’improvisation.
Appuyé par d’excellents camarades de jeu, Dominique Pifarély articule libertés et contraintes, expressions individuelles et collectives, sophistication formelle et improvisation spontanée pour nous conduire vers des endroits inattendus.
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avec : Dominique Pifarély, violon, Antonin Rayon, piano, Bruno Chevillon, contrebasse, François Merville, batterie
Ce concert est soutenu par l'ONDA.
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De la violence dans les détails
Dimanche 12 novembre à 17h
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Nicolas Stephan a imaginé un dialogue entre deux matières, les mots et la composition musicale, se servant de l’une pour faire avancer l’autre, jusqu’à voir naître un objet hybride et singulier : De la violence dans les détails, un roman en apparence traditionnel mais cachant dans ses pages son versant musical.
Tour à tour improvisée ou très écrite, la musique prend d’autres chemins que le roman, tout en passant par les mêmes points : une réflexion sur le fantasme, la violence et la question lancinante de ce que nous faisons de notre rage.
Avec un quintet à cordes, un piano et son pianiste, deux saxophonistes, des mains et des guitares incendiaires, l’Atelier du Plateau devient le lieu d’une tentative de traduction de quelque chose. Une façon autre de plonger dans un roman, par ses compositions, son rythme, ses résonances.
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avec : Nicolas Stephan, composition, saxophone, Antonin Rayon, piano, Julien Desprez et Csaba Palotaï, guitares, Irène Lecoq et Johan Renard, violon, Julia Robert, alto, Jean-Philippe Feiss, violoncelle, Théo Girard, contrebasse, Baptiste Bouquin, saxophone et direction d’orchestre
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Ascension
du jeudi 16 au samedi 18 novembre à 20h
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Inspiré du texte d’Erri de Luca Sur les traces de Nives, Denis Welkenhuyzen s’installe à l’Atelier du Plateau pour nous faire vivre un moment intimiste où la danse, le conte et la musique nous emmènent vers les sommets. Porté par deux danseurs-grimpeurs et un musicien-conteur, des cordes suspendues et un filet, ce conte ascensionnel nous donne à voir et à entendre ce que nous pouvons ressentir et vivre lorsque nous attaquons l’ascension d’un sommet.
Un conte, fait de mots et d’escalades chorégraphiques et circassiennes, où les corps se présentent tour à tour athlétiques, abandonnés, sans force, soutenus pour ne pas tomber. Où il sera tour à tour question d’ascension et de descente.
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Un spectacle inspiré de « Sur la trace de Nives » d’Erri De Luca
Direction artistique et adaptation : Denis Welkenhuyzen, avec le regard d’Agnès Arnaud
Lumière : Pierre Galais – Régie générale : Olivier Penel
avec : Sébastien Ehlinger, comédien-musicien, Stéphane Couturas et Jérémy Paon, danseurs-grimpeurs
©Jean-Michel Coubart
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Oblique Cycle 1 / Attracteur étrange
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Vahram Zaryan, chorégraphe et performeur, a proposé à un groupe d’artistes le thème de l’oblique. Frédéric Parcheminier a écrit les textes, Vincent Trollet une musique pour un accordéon, donnant naissance à une performance mentale, corporelle et sonore.
Oblique Cycle 1 nous invite à parcourir un chemin intérieur, de l’idée fixe vers le trouble et la tentation. Sur scène, les inclinations et déséquilibres provoquent une cohabitation inattendue. Ainsi, le corps, le son et les mots s’associent et se rencontrent pour faire naître une arborescence de toutes les éventuelles bifurcations en oblique.
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Un spectacle de la Compagnie Vahram Zaryan, avec Ensemble Regards Librement inspiré de poèmes de Frédéric Parcheminier
Conception, mise en scène et scénographie : Vahram Zaryan
Musique : Vincent Trollet - Informatique musicale : Hiromi Watanabe Vidéo : Auguste Diaz - Lumière : Loïc Samson - Conseil dramaturgique : Laurent Muhleisen - Collaborations artistiques : Karen Hakobian
avec : Vahram Zaryan, performeur, mime contemporain, Jérome Aubert, acrobate aérien, Jean-Etienne Sotty, accordéon, Hiromi Watanabe, électroacoustique.
"OBLIQUE’ Cycle 1" est soutenu par la DRAC Ile-de-France, La Ville de Paris, Spedidam, Sacem, Le FCM, Institut Martin Luther. Avec l’aide d’Arcadi Île-de-France, dans le cadre des Plateaux solidaires.
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Krim
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Les pulsions, ces états émotionnels qui nous débordent. Ces états de corps qui nous dépassent. Qu’est-ce qui amène au passage à l’acte ? Qu’est ce qui l’empêche ?
La comédienne Sandrine Nicolas nous livre un récital en forme de confidence poétique, musicale et délicate, prenant appui sur des faits divers, des mythes et des fantasmes. Porté par la scénographie sonore de Thierry Balasse et Eric Groleau, Krim est une invitation à transformer nos énergies destructrices en forces vives, à révéler la part d’humanité qu’il y a en chacun de nos monstres intérieurs.
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Un spectacle de la compagnie Echos Tangibles
Ecriture et conception : Sandrine Nicolas - Création électroacoustique : Eric Groleau et Thierry Balasse - Chorégraphie et regard extérieur : Laurence Marthouret – Lumière : Eugénie Marcland - Scénographie : Aurélie Thomas - Vidéo : Juliette Fontaine
avec : Sandrine Nicolas,comédienne, Eric Groleau, batterie, Thierry Balasse, performeur sonore
©Moise Arbib
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Velvet Revolution
Dimanche 26 novembre à 17h
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Depuis sa première apparition à l’Atelier du Plateau, le trio Velvet Revolution a parcouru de nombreux chemins. Pour troubler leur route balisée, Daniel Erdmann convie le batteur atypique Cyril Atef à les rejoindre et compose un nouveau repértoire.
Accompagné des talentueux Théo Ceccaldi et Jim Hart, et s’appuyant sur l’univers rythmique singulier de Cyril Atef, Daniel Erdmann nous transporte dans les brumeuses capitales d’Europe de l’Est, et initie sa propre « révolution de velours ». Il y a du poétique et du littéraire, du pictural et de l’abstrait, de la créativité et du débordement.
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avec : Daniel Erdmann, composition, saxophone, Théo Ceccaldi, violon, alto, Jim Hart, vibraphone, Cyril Atef, batterie, percussions
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Martial / Dubé
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« Quand j’étais enfant, je me suis mise à chanter d’une voix étrangement grave. En tombant sur un enregistrement de musiques inuites des années plus tard, j’ai reconnu ma voix. » Marie-Pascale Dubé.
« Enfant, mon jeu favori était d’imiter les langues étrangères et les bruits extérieurs au point de me confondre avec l’environnement sonore. J’avais trouvé l’instrument qui pourrait m’amuser toute une vie : la voix. » Leïla Martial.
Entre Leïla Martial, acrobate vocale aux milles fantaisies, et Marie-Pascale Dubé, exploratrice et spécialiste du chant de gorge, le katajjaq, issu de la tradition inuite, il s’agit d’une première rencontre. Et pourtant, il y a entre ces deux chercheuses habitées, ce même engagement émotionnel qui prévaut à toutes retrouvailles.
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avec : Leïla Martial et Marie-Pascale Dubé, voix
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Elvis is not dad
Vendredi 1er et samedi 2 décembre à 20h
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Elvis est mort à 42 ans. Jean-Paul est mort à 42 ans. C’était le 16 août.
Partant de ce fait indiscutable, trois performeurs convoquent les fils, les clones, les fantômes dans une tentative néo psychédélique  de phagocytage de derrière les fagots, de derrière les amplis, avec des tubes cathodiques en trois accords et des jouets sacrifiés jusqu’à l’os.
Elvis is not dad est la biographie comparée et fantasmée d’Elvis Presley et de Jean-Paul Quenet, dans laquelle se livrent, se confrontent et s’associent les racines d’enfances, les titres d’un héritage à défaire, cabossé comme un fantôme de Cadillac.
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Un spectacle de Cette Compagnie-là – Texte : Antony Quenet – Régie et conception sonore : Jérome Baillet – Vidéo : Caroline Beuret
avec : Antony Quenet, Pierre-Vincent Chapus et Jean-Paul Mura, comédiens
ELVIS IS NOT DAD bénéficie de l'aide des plateaux solidaires d'ARCADI, ainsi que du soutien à la production/diffusion de la SPEDIDAM.
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Zavan’Hangu
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S’inscrivant dans la recherche autour du corps et de la langue, Absoir, Ann O’aro et Jean-Didier Hoareau présentent un spectacle intime dans lequel ils se livrent en proximité. Le slam engageant de l’artiste comorien Absoir dialogue, dans sa langue maternelle et en français, avec le créole et les percussions maloya de Jean-Didier Hoareau et Ann O’aro.
Le dos, les percussions, les corps, les langues, les souffles expriment des questions de liberté et de censure, de besoin de vivre ou de dire, dessinent des espaces.
La poésie du quotidien, brute et ordinaire, dans un huis clos détonnant.
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avec : Ann O’aro, chant, percussions, Absoir, chant, Jean-Didier Hoareau, percussions
En partenariat avec le Festival Africolor
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Morfin / Pasquier
Vendredi 8 décembre à 20h
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Séverine Morfin n’hésite pas à déconstruire son territoire sonore pour invoquer des équilibres précaires et trouver une forme d’harmonie apaisée. L’alto prend sa parole et ouvre un inlassable dialogue avec les voix de la révolte et de la ferveur.
Elodie Pasquier dessine, à grands renforts de vifs remous et de grandes cascades, un petit espace où la musique ne cache pas son intention de crever les cœurs.
Pour cette soirée unique et éphémère, les deux musiciennes réunies offrent aux oreilles de passage un bond en altitude, tant pour les bienfaits de l’air pur que pour la sensation de vertige.
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avec : Séverine Morfin, alto, Elodie Pasquier, clarinettes
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Animal
Vendredi 15 décembre à 20h
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Fidel Fourneyron, l’un des musiciens les plus créatifs de sa génération, dévoile son nouveau trio. Autour de ses compositions, il réunit, pour la première fois ensemble, le contrebassiste Joachim Florent et le batteur Sylvain Darrifourcq.
Cet étrange Animal hurle, piaffe et roucoule, bondit de souvenirs de blues en élans lyriques et transes rythmiques, avec finesse et fantaisie.
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avec : Fidel Fourneyron, compositions, trombone, Joachim Florent, contrebasse, Sylvain Darrifourcq, batterie
Animal est accompagné par le dispositif ONJ Fabric de l’Orchestre National de Jazz.
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Grand Bazar
Samedi 16 décembre à 20h
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Ce Grand Bazar est un véritable spectacle, une invitation dans la chambre de deux musiciens. Tout y est organisé selon une logique mystérieuse, selon des règles établies par ces deux enfants terribles. Ils choisissent de se servir dans le répertoire de quatre compositeurs – Györgi Ligeti, J. S. Bach, Carla Bley et Aphex Twin – moins pour leur rendre hommage que pour jouer à assembler, à déconstruire, à casser, à réinventer.
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avec : Eve Risser, clavier, Antonin-Tri Hoang, flûtes
Eve Risser est accueillie en résidence à l’Atelier du Plateau
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Courtois / Erdmann / Fincker
Mer 20, jeu 21 et ven 22 décembre à 20 h
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Le violoncelliste Vincent Courtois réunit deux saxophonistes, le souffle chaud de Daniel Erdmann et les élans brillants de Robin Fincker, pour former un trio à l’instrumentation inédite, oscillant entre musiques de chambre et improvisations.
Comme pour une étape de parcours, une halte, un bivouac, ils posent leurs valises pour trois jours à l’Atelier du Plateau. Un musicien invité les rejoint chaque soir, pour dérouler la richesse des trois répertoires.
Mercredi 20Â : Bandes Originales.
Le trio présente son dernier répertoire, un libre hommage aux compositeurs de musiques de films. Pour fêter leur nouvel album, il convie Dominique Pifarély à partager ce vagabondage dans un monde qui nous est à la fois étranger et familier.
Jeudi 21Â : West
West est un parcours exigeant et poétique, un exil volontaire et intérieur où nous nous trouvons entraîné à la découverte de nouvelles lignes d’horizons. Benjamin Moussay rejoint le trio pour un programme évocateur de découvertes et de voyages.
Vendredi 22Â : Mediums
Pour clôturer ces trois soirées, le trio présente son programme fondateur, Mediums. Avec Sarah Murcia, il livre une promenade ésotérique dans le monde de la fête foraine et des freaks.
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avec : Vincent Courtois, violoncelle, Daniel Erdmann, saxophone, Robin Fincker, saxophone, Dominique Pifarély, violon, Benjamin Moussay, piano, Sarah Murcia, contrebasse
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